Techniques de peinture de M’barek Bouchichi

Il peint depuis l’âge de 19 ans, « n’importe où parce que je n’ai pas d’atelier », des masses qui représentent des espaces nus, vides, des amas de couleurs. Son unique support est la toile de coton. C’est la partie supérieure qui est majoritairement traitée, toute intervention sur la partie inférieure n’est que pur hasard (coulures le plus souvent).

Sa palette est très sobre : elle tend vers la non-couleur plutôt que vers la couleur proprement dite. Quand ce n’est pas le contraste du noir au blanc que l’on découvre, c’est le dépouillement.

La composition se présente toujours sous forme de plans superposés ou opposés : le haut et le bas, mais aussi la juxtaposition de plans marquant les contrastes.

Techniques de peinture de Cascade

Sa principale source d’inspiration est la musique, car les gammes musicales lui rappellent les gammes de couleurs : « la vie n’aurait pas de sens sans la musique ».

Le contact de la couleur avec le papier est très important, la fonction dont la couleur le pénètre transforme l’œuvre et lui donne son caractère.

Cascade peut tout aussi bien travailler sur de très grands supports que sur des toiles de 2 cm².

L’œuvre est terminée lorsqu’il juge que sa peinture « tient dans toutes les lumières ».